Glossaire
Certains termes sont parfois utilisés en leur donnant une définition vague car difficilement définissables et compréhensibles « simplement ».
Tous les termes n'ont pas une « définition dictionnaire » « simple » car derrière des mots simples il y a souvent des concepts compliqués...
Dans certains cas vous aurez une explication du concept, signée par la personne l'ayant écrite, dans d'autres vous aurez, sous forme de citation, la définition donnée par une certaine structure.
Coworking Space / Espace de Coworking[modifier | modifier le wikicode]
Le Coworking est né de l'hybridation des Tiers-Lieux et des bureaux à la demande.
Dans sa publication « Créer les nouveaux lieux de la ville créative : Les espaces de coworking » [1] de 2014, Bruno Moriset, chercheur en géographie physique, humaine, économique et régionale, nous parle de ces espaces en les comparant directement aux tiers-lieux :
« Ils (les espaces de coworking) ne sont pas non plus de simples « bureaux à la demande » (Regus p. ex.), qui proposent rarement une animation dédiée, et dans lesquels l'interaction sociale et professionnelle n'est pas le but recherché. » ... « Quant aux incubateurs de startups, leurs occupants doivent subir un processus de sélection qui n'est pas compatible avec le concept même de tiers-lieu. Toutefois, l'engouement pour le coworking est tel que de nombreux incubateurs implantent en leur sein un espace de coworking stricto sensu. »
— MORISET Bruno
En 2006, Chris Messina, l'inventeur du concept de hashtag, met en place le wiki[2] du site coworking.org/.com [3].
Il est mis en place cinq « core values » de ces espaces :
- Communauté : Il est important que les utilisateurs forment une « vraie » communauté
- Ouverture : Doit être pris dans le sens de la philosophie Libre et open-source : le lieu doit être documenté et reproductible
- Collaboration : Il faut être là autant pour être aidé que pour aider
- Durabilité : L'espace doit pouvoir subvenir à ses besoins - Cela signifie que l'espace doit pouvoir survivre sans aide extérieure.
- Accessibilité : L'espace doit être proche du domicile afin de faire partie d'un écosystème de lieux proches
ainsi qu'une charte :
- collaboration over competition
- community over agendas
- participation over observation
- doing over saying
- friendship over formality
- boldness over assurance
- learning over expertise
- people over personalities
- "value ecosystem" over "value chain"
Marc Vanlindt (discussion) 26 octobre 2025 à 15:41 (CET)
Fablab[modifier | modifier le wikicode]
Le Fab(rication)lab(oratory) est un réseau mondial de makerspace, correspondant souvent déjà aux critères du Tiers-Lieu, afin de les réunir au travers d'une charte et d'outils simples, établis par le M.I.T. :
- Imprimante 3D
- Découpeuse laser
- Fraiseuse numérique trois axes (2D et demi)
- Une découpeuse pour les auto-collants, les circuits imprimés...
- Matériel électronique de base
Le but de ce réseau est de permettre à tous de créer un prototype utilisable et d'assurer qu'une autre personne, avec les mêmes fichiers pourra le reproduire.
Tout makerspace peut se revendiquer fablab. Il faut alors passer par la grille d'autoévaluation :
| Note | Accessibilité au fab lab | Engagement envers la charte des fab lab | Outils et processus | Participation au réseau global |
|---|---|---|---|---|
| A | Ouverture, même partielle, au public | Présence de la charte dans le lieu et sur le site internet | Présence de tous les outils, voire plus | Contribution et collaboration aux projets d'autres fab labs et création de projets |
| B | Ouverture payante au public | Le fab lab est dans l'esprit de la charte | Proche mais au moins un outil ou processus manque | Contribution et collaboration aux projets d'autres fab labs |
| C | Restriction à certains publics | Aucune mention à la charte | Difficultés à suivre processus et tutoriels | Peu, voire aucune contribution avec les autres fab labs |
Il fait appel à plusieurs autre concepts qui sont :
- La culture Libre
- L'Open-Source
- Une éthique hacker, dont l'absence d'autorité amène à une réappropriation citoyenne.
Marc Vanlindt (discussion) 26 octobre 2025 à 15:41 (CET)
Libre[modifier | modifier le wikicode]
« Libre est l'état de celui qui jouit de Liberté. Liberté est un mot que le rêve humain alimente : il n'existe personne qui l'explique et personne qui ne le comprenne. »
— L'île aux fleurs [4]
La philosophie du Libre est née dans le domaine de l'informatique afin d 'assurer quatre libertés, dites « fondamentales », sur le logiciel utilisé :
- Liberté d'usage : on peut l'utiliser quelle que soit l'utilisation
- Liberté d'étude : impose le passage à l'open-source afin de comprendre comment fonctionne le logiciel
- Liberté de redistribution : on peut le fournir à toute personne en faisant la demande
- Liberté de modification : on peut modifier et/ou améliorer le logiciel et fournir de la même manière ces modifications.
Les brevets aux Etats-Unis ont amené à voir la philosophie du Libre s'étendre à d'autres domaines dans lesquels rentrent en compte les brevets :
- Les semences
- Les logiciels internes à certains matériels
- Les médicaments
- Les logiciels de vote électronique
Il ne faut pas confondre la philosophie Libre, avec ces 4 libertés fondamentales, et l'open-source, qui est une méthode de dépôt de source.
Marc Vanlindt (discussion) 27 octobre 2025 à 01:14 (CET)
Lieu Hybride / Tiers-Espace[modifier | modifier le wikicode]
Le principe d'hybridité a été créé par Homi Bhabha[5], utilisant alors le terme de « tiers-espace » pour désigner, dans l'ère post-coloniale, un « espace d'hybridité » où la culture dominante et la culture subordonnée donnent naissance à une nouvelle culture.
Il s'agit, pour lui, d'un espace conceptuel, et non physique, dans lequel, de manière simplifiée :
- Le premier espace : l'espace où une culture dominante est confrontée à une culture subordonnée
- Le deuxième espace : l'espace tel que pensé par la culture dominante
- Le troisième espace : l'espace tel que vécu par la culture subordonnée
Edward Soja[6] reprendra ce principe dans son livre « Thirdspace : Journeys to Los Angeles and Other Real-And-Imagined Places » [7] :
- Le premier espace : l'espace « construit »
- Le deuxième espace : l'espace « pensé » pour les utilisateurs
- Le troisième espace : l'espace « vécu » par les utilisateurs
Un bon exemple, je trouve, de tiers-espace est l'exemple du parc.
- Premier espace, l'espace construit : une étendue de terre sur laquelle il est prévu de faire un parc, géré par un dominant, fait pour des subordonnés.
- Deuxième espace, l'espace pensé : de belles étendues de pelouses avec des chemins en briques accessibles à tous et amenant aux différentes sections du parc
- Tiers-Espace, l'espace vécu : les utilisateurs du parc ont créé leurs propres chemins en traversant les pelouses ou pour se rendre sous certains arbres...
Le tiers-espace est donc ce qu'un espace est devenu après le passage d'utilisateurs et qu'il faut prendre en compte si différent du deuxième espace.
Le lieu hybride est un tiers-espace où l'on a pensé un lieu pour différentes configurations sociales définies mais qui voit se générer une nouvelle configuration, qui ne peut être définie par un des noms déjà existant.
Marc Vanlindt (discussion) 25 octobre 2025 à 16:19 (CEST)
Open-Source[modifier | modifier le wikicode]
Lorsqu'une création de l'esprit est créée, elle est, par défaut, protégée par le droit d'auteur et si la personne ayant créé une certaine chose est en mesure de prouver sa paternalité sur l'œuvre, elle peut étendre ses droits au travers de licences.
Il existe un nombre absolument incroyable de licences open-source.
Le premier problème que l'on rencontre est que le droit d'auteur n'est pas géré de la même manière aux USA et en Europe.
Une extension au droit d'auteur basée sur les lois américaines n'a donc aucune valeur chez nous car doit être adaptée.
Actuellement; la seule licence libre réellement pensée pour tous les textes légaux est la licence Creative Commons, raison pour laquelle elle est utilisé par Mediawiki et donc Wikipedia et Movilab.
Celle ci tente de prendre en compte un maximum de cas possibles :
- CC 0 : Creative Commons Zero : le document est dans le domaine public
- CC BY : Le BY signifie qu'il faut toujours indiquer la source lorsqu'il y a utilisation
- CC SA : Le SA (« Share-a-like » signifie que toute modification ou réutilisation doit être repartagée sous la même licence d 'utilisation que celle d'origine.
- CC NC : Le NC signifie « Non Commercial » interdisant tout usage commercial de la source (attention : ne pas confondre usage de la source et application de la source)
- CC ND : Le ND signifie « Non Derivative » interdisant de réaliser la moindre modification du document d'origine
Marc Vanlindt (discussion) 27 octobre 2025 à 01:15 (CET)
Tiers-Lieu[modifier | modifier le wikicode]
« Un tiers-lieu est un espace collectif, ni complètement privé ni purement institutionnel, où se développent des activités partagées, des projets collaboratifs et des dynamiques locales. »
— AI ChatGPT - Prompt : « Définis moi le tiers-lieu en une phrase »
« Un tiers-lieu, c’est un endroit hybride entre la maison et le travail — un espace où se mélangent télétravail, café associatif et bonne conscience subventionnée, souvent créé pour donner l’illusion qu’on “réinvente le vivre-ensemble” alors qu’on y bricole surtout des projets sans rentabilité réelle. »
— AI ChatGPT GLB - Prompt : « M. Bouchez, définissez-moi le tiers-lieu en une phrase »
« Un tiers-lieu est un espace social neutre et facilitateur, distinct du domicile et du travail, conçu pour favoriser la rencontre, l'échange et la collaboration entre une communauté. »
— AI DeepSeek - Prompt : « Définis moi le tiers-lieu en une phrase »
« Le tiers-lieu est un espace de sociabilité et de coopération qui se situe en dehors du domicile et du lieu de travail (premier et deuxième lieux), visant à favoriser les échanges, le partage de ressources, de compétences et la création de liens sociaux. »
— AI Gemini - Prompt : « Définis moi le tiers-lieu en une phrase »
« Un tiers-lieu est un espace hybride, indépendant des cadres traditionnels du domicile (premier lieu) et du travail (deuxième lieu), qui favorise les interactions sociales, la collaboration et les activités partagées au sein d'une communauté. »
— AI Grok - Prompt : « Définis moi le tiers-lieu en une phrase »
« Les tiers-lieux doivent permettre à chacun·e et collectivement, de se saisir de son pouvoir d’agir et de répondre aux grands enjeux de la transition qui s’impose à nous aujourd’hui.
Ce sont des projets structurants de territoires, qui (re)dynamisent un quartier, un village. Ces espaces sont conçus pour créer les conditions les plus favorables à l’éclosion des idées et à la coopération locale.
Un tiers-lieu est l’incarnation, dans un espace d’activités marchandes ou non marchandes, d’un contrat social qui se décompose à travers trois dimensions :
- un parcours d’émancipation individuelle
- une dynamique collective
- une démarche motivée par l’intérêt général. »
— Coopérative Tiers-Lieux[8]
« Vous avez dit tiers-lieu ?
Le terme « tiers-lieu », originaire des Etats-Unis, provient de l’anglais « third place ». Le tiers-lieu est défini au départ par le sociologue Ray Oldenburg à la fin des années 80, de manière simplifiée, comme un lieu où les personnes se plaisent à sortir et se regrouper de manière informelle, situé hors du domicile (first-place) et du lieu de travail (second-place).
Ce sont des lieux du faire ensemble : des leviers d’innovation grâce aux espaces partagés qu’ils offrent, des lieux de rencontres et de partage qui encouragent aux collaborations et aux projets collectifs.
D’abord métropolitains, le phénomène gagne les territoires ruraux, les petites et moyennes villes et quartiers de banlieue. Ils sont une majorité en dehors des grandes villes en 2021.
Les 5 éléments qui définissent un tiers-lieu
- L’entrepreneuriat ancré dans le territoire : S’y créent des activités à impacts économiques, sociaux et environnementaux positifs à partir des besoins et ressources du territoire
- L’expérimentation et la création : S’y inventent des modèles économiques hybrides, visant l’autonomie financière par des revenus divers (services, formation, loyers, restauration, fabrication…)
- Hybridation d’activités et de revenus : Lieux du faire, souples, évolutifs et adaptables, s’y permet l’émergence de projets “hors cadre”
- Vie, convivialité et mixité : Y priment les rencontres informelles, l’accueil et la convivialité, les interactions sociales imprévues font la valeur du lieu
- La libre contribution et l’évolutivité : Les usagers sont impliqués dans le projet, ils le construisent et le font évoluer au fil du temps »
— France Tiers-Lieux[9]
« Espace physique hybride (bâtiment, local, etc.) destiné à être utilisé par des professionnels indépendants, des associatifs, des bénévoles, etc., afin qu'ils puissent y élaborer des projets collectifs, échanger leurs expériences, transmettre leur savoir-faire. (Si chaque tiers-lieu a sa spécificité, son fonctionnement, son mode de financement et sa communauté, tous ont été développés grâce au déploiement du numérique partout sur le territoire.) »
— Larousse [10]
« Ces lieux constituent les « paramètres fondamentaux de la vie publique informelle ».
Le tiers-lieu est une désignation générique donnée aux lieux publics qui servent d'environnement au-delà du domicile (le premier lieu) et du travail (le deuxième lieu). Ils accueillent les rassemblements réguliers, volontaires, informels et joyeusement anticipés d'individus.
Ces lieux se reconnaissent grâce à huit caractéristiques :
- Terrain Neutre : Lieu où les individus peuvent aller et venir à leur guise, sans être contraints de jouer le rôle d'hôte ou d'invité
- Niveleur : Lieu inclusif où le statut social est laissé de côté
- Lieu de Conversation : Cette activité est la principale que l'on retrouve dans ce lieu
- Accessibilité : Il est facile d'accès et ouvert à ceux qui en ont besoin quand ils peuvent s'attendre à pouvoir y accéder
- Noyau Dur : Une communauté fidèle et régulière assure une ambiance et une envie d'affiliation
- Profil Bas : C'est un lieu simple qui n'a rien de particulier pour devenir un lieu « intéressant » en dehors de sa communauté.
- Bonne Humeur : L'ambiance générale est agréable et ludique. L'esprit est aux plaisanteries, à la joie et à l'acceptation.
- Seconde Maison : Le lieu doit fournir un sentiment de confort et de soutien psychologique, similaires à ceux du domicile. »
— OLDENBURG Ray, vulgarisation : Marc Vanlindt (discussion) 25 octobre 2025 à 14:16 (CEST)
« Espace de sociabilité d'initiative citoyenne, où une communauté peut se rencontrer, se réunir, échanger et partager ressources, compétences et savoirs. »
— Robert [11]
« Espace physique prévu pour accueillir une communauté afin de permettre à celle-ci de partager librement ressources, compétences et savoirs »
— Tiers-Lieux.be[12]
« Il s’agit de lieux qui rassemblent une communauté autour d’une identité et des valeurs, afin de permettre à celle-ci de partager ressources, compétences et savoirs, avec une volonté de construire un futur régénérateur et résilient. Au cœur de ces tiers-lieux, les humains explorent le localisme, l’autonomie, la présence de boucles fermées et la régénération des écosystèmes et du vivant.
Un tiers-lieu rayonne au travers sa pluri-fonctionnalité, ses interfaces avec le monde extérieur et sa reliance dans un maillage territorial qui génère l’abondance.
Chaque tiers-lieu est “une démarche collective d’intérêt général, qui s’inscrit dans la coopération territoriale dès sa conception. Par nature uniques, ils sont non réplicables. Ils émanent d’un collectif d’acteurs, qui ensemble souhaitent créer de nouvelles dynamiques économiques ou sociales en réponse aux enjeux de leur territoire. »
— Trois-Tiers [13]
« Cette configuration sociale a été théorisée par Ray Oldenburg, professeur émérite de sociologie urbaine à l’université West Florida, et Dennis Brisset de l'université de Minnesota-Duluth, dans un article de la revue « Qualitative Sociology » de décembre 1982, intitulé « The Third Place » et présentant les premières caractéristiques des tiers-lieux :
- Le lieu : le tiers-lieu est un lieu public, accessible, intégré à la vie sociale des habitants. Il est là pour permettre des relations et expériences impossibles ailleurs.
- La sociabilité : la principale expérience est la sociabilité pure. Les auteurs se basent sur les travaux de Georg Simmel pour qui la sociabilité pure est un besoin naturel.
- L'importance de la discussion : les auteurs se basent sur les travaux de Orinn Klapp qui différencie les symbolismes « discursif » (discussions formelles dans le but d'apprendre « de » l'autre) et « non discursif » (discussions non formelles dans le but d'apprendre « sur » l'autre) et voient dans le symbolisme non discursif l'une des conditions de la sociabilité.
Ils y parlent de leur importance dans une société en pleine banlieusardisation, dans laquelle les sphères sociales proposées aux travailleurs n'étaient que la première, la deuxième et le trajet entre ces deux ci. »
— Wikipedia [14]
« Un tiers-lieu est un espace intermédiaire entre le lieu de vie et de travail, où se rejoignent des individus qui expriment un sentiment d’appartenance à une communauté locale dans une perspective d’échange de connaissances et savoir-faire. De ce fait, le lieu investi doit offrir des espaces à la fois accueillants, modulables et accessibles. »
— Wallonie Tiers-Lieux [15]
Tiers-Paysage[modifier | modifier le wikicode]
Le Tiers paysage est un concept créé par le paysagiste français Gilles Clément, afin de désigner l'ensemble des espaces qui, négligés ou inexploités par l'homme, présentent davantage de richesses naturelles sur le plan de la biodiversité que les espaces sylvicoles et agricoles.
Dans son « Manifeste du Tiers-Paysage », il théorise les espaces non exploités ou abandonnés par l'homme, tels que les résidus urbains, les friches, et les réserves naturelles, qu'ils soient vastes ou minuscules. Clément affirme que cet ensemble de lieux marginaux est crucial en tant que refuge pour la diversité biologique et le moteur de l'évolution.
L'auteur soutient que le Troisième paysage possède une dimension politique et éthique essentielle pour l'avenir de la planète, le comparant au concept du « Tiers état » de la Révolution française. Les extraits abordent également les fondements du concept, son lien avec l’idée de « Jardin planétaire », et les défis que représente sa protection contre l'organisation et l'exploitation humaines. [16][17]
Marc Vanlindt (discussion) 27 octobre 2025 à 01:15 (CET)
Références[modifier | modifier le wikicode]
- ↑ Coworking - MORISET Bruno - Créer les nouveaux lieux de la ville créative
- ↑ Coworking - Wiki Coworking.org
- ↑ Coworking - Site Coworking.org
- ↑ Libre - YouTube - L'île aux fleurs
- ↑ Tiers-Espace - Wikipedia - Homi Bhabha
- ↑ Tiers-Espace - Wikipedia - Edward Soja
- ↑ Tiers-Espace : Wikipedia - Théorie du Tiers-Espace
- ↑ Tiers-Lieu : Coopérative Tiers-Lieux
- ↑ Tiers-Lieu : France Tiers-Lieux
- ↑ Tiers-Lieu : Larousse
- ↑ Tiers-Lieu : Robert
- ↑ Tiers-Lieu : Tiers-Lieux.be
- ↑ Tiers-Lieu : Trois-Tiers
- ↑ Tiers-Lieu : Wikipedia
- ↑ Tiers-Lieu : Wallonie Tiers-Lieux
- ↑ Tiers-Paysage - Wikipedia - Manifeste du Tiers-Paysage
- ↑ Tiers-Paysage - CLEMENT Gilles - Manifeste du tiers-paysage